Rencontre sur le Parvis du domaine d'un autre dieu [PV Kira]

Le néant. Une chose indescriptible. Ce n'est pas noir, cela na pas de couleur. Cest transparent. Mais quand c'est transparent, c'est qu'on voit à travers. Mais là, il n'y a rien dérière. Ce n'est pas blanc. C'est rien. J'essaye de vous faire comprendre, mais les mortels ne le peuvent. Leurs sens sont si peux developper. Je suis tellement habitué à ne rien voir, ne rien toucher, ne rien sentir, si ce n'est la douleur, que le changement est brutal. D'un coup, les couleurs reviennent, les odeurs reviennent, les gouts et les sons aussi. Et les sensations d'un coprs. Des sensations que nous avons jamais connue. Des corps de mortel. C'est pour cela, en fin de compte, que nous sommes séparé. Nous sommes dans des corps de mortel.
Je suis Khyra, anciennement Syra, et c'est ici que commencent notre histoire parmi les mortels.

Khyra me regardent. Je la regardent. Nous avons conservé en nous les attraits de Syra. Mais pas le temps de si attarder. Nous nous tournons simultanement. Devant nous se dressent une grande ville au millieu du désert. Si je ne me trompe pas, c'est Death City, la ville de Shinigami. Khyra pense que c'est à cause de lui que nous sommes ici. Moi je sais que ce n'est as lui. La transformation demande une tel quantité d'énergie qu'elle fait tomber son utilisateur dans un sommeil pareil à une mort. Or, Death City semble être ouverte depuis un moment, et en bon état. Khyra veut aller demander des comptes à Shinigami. Il n'a jamais fait le poids devant Syra, et en nous alliant il n'a pas tellement de chance. Mais je ne la détrompe pas. Il faut effectivement que nous allions voir Shinigami. Il fait trouver une slution à ce problème, et seul un dieu peut nous aider.
je suis Alyce, anciennement Syra, et c'est ici que commencent notre histoire parmi les mortels.

Les deux jeunes filles s'avançèrent dans la ville endormi, sous le soleil matinal terrien. Elles gravissent les marches jusqu'à Shibusen, l'école de Shinigami, sans se fatigué, et en se retenant, pour Alyce de donner le bonheur, et pour Khyra le malheur. Elles ont des choses plus importantes à faire. Ainsi, elles se retrouvent devant l'imposant édifice symétrique, ce qui n'est pas pour leurs déplaires car elles-mêmes sont un modèles de symétries, en quelques sortes.

-Alyce.... Allons donc regler nos comptes à la chambre de la morts....
Première parole prononcés dpuis longtemps.
-Khyra.... Sois donc plus sympathiques, nous sommes chez lui après tout.

Double soupirs. Elles se regardent, s'aprètent à rentrer, et sont arretés par la vision d'un jeune homme au long cheveux blanc qui les observent. Il regardent Alyce. Alyce le regarde. Il regarde Khyra. Khyra le regarde. Silence complet. Aller et retour de regard. Finalement, la voix de Khyra résonne, froide et menacante:

-Qui est-tu misérable humain... ou plutôt arme.